8 mars 2007
Energumène
"Je te mène tu m’entraînes
dans la traîne de la Reine..."
A peine tienne que déjà la Reine
Se languit de ses plaines lointaines.
Amours madrilènes au goût d’arènes
La vachette malsaine veille sur la scène.
Ta fredaine me laisse sans haine
Et je te délaisse au chant des sirènes
Pour que les peines qu’elles égrènent
T'enchaînent à la mienne qui est vaine.
Pas de veine, même les couleurs siennes
Qui cernent la ville pleine de pollen
Ne masquent pas la gêne malsaine
Qui nous amène à la nouvelle rengaine :
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