
Après les aurevoirs aux maîtresses (et les chagrins qui vont avec), il y a eu l'aurevoir à notre pédiatre, et le pincement au coeur ressenti en refermant la porte sur cette femme qui à chacune de mes visites trouvait les mots pour me rassurer. Ensuite, les vacances ont commencé.
Chez nous, Dalida égrenne ses mélodies au grand dam d'Arthur Miller.♫ ♪ ♬ Laissez-moi danser laissez-moi Laissez-moi danser chanter en liberté tout l'été Laissez-moi danser laissez-moi Aller jusqu'au bout du rêve ♫ ♪ ♬
J'ai envoyé...
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